A voir : Le Noiseur revisite “Week-end à Rome” dans une version (dé)-connectée

Toujours plus chuchoteur que chanteur, Le Noiseur revient aujourd’hui avec Week-end à Rome 2.0. Dans ce tout nouveau morceau, le musicien s’intéresse moins à la poésie de l’ordinaire qu’à son absurdité : derrière son évidente référence à Etienne...

A voir : Le Noiseur revisite “Week-end à Rome” dans une version (dé)-connectée

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Toujours plus chuchoteur que chanteur, Le Noiseur revient aujourd’hui avec Week-end à Rome 2.0. Dans ce tout nouveau morceau, le musicien s’intéresse moins à la poésie de l’ordinaire qu’à son absurdité : derrière son évidente référence à Etienne Daho, le morceau se joue de l’addiction des touristes à leur téléphone.

C’est sur un ton forcément flegmatique que Le Noiseur lâche en refrain “J’irai au bout du monde avec toi mon amour / Mais si y’a pas le wifi j’ferai demi-tour”, improvisant tantôt un dialogue imaginaire entre les membres d’un couple fictif, tiraillé·es entre leur envie de découvrir la capitale italienne et la nécessité de garder de la batterie sur leur téléphone.

>> A lire aussi : Laylow invite Alpha Wann et Wit. sur le bouillant “Stuntmen” !

Seul protagoniste de son clip, Simon Campocasso endosse encore bien sa casquette de “chanteur-reporter” en n’illustrant pas son morceau de manière trop figurative : sa solitude sert ici à incarner le sentiment d’isolement que peut provoquer notre dépendance au téléphone.

>> A lire aussi : Le Noiseur est de retour au bercail dans le clip de “Relax”