PLK pousse un coup de gueule contre les violences faites aux femmes

Au micro de Planète Rap sur Skyrock, PLK a pris la parole pour défendre les femmes, pas toujours soutenues par les forces de l’ordre. PLK défend une fois de plus une cause noble. Il y a peu, le rappeur avait pris la parole pour dénoncer le...

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Au micro de Planète Rap sur Skyrock, PLK a pris la parole pour défendre les femmes, pas toujours soutenues par les forces de l’ordre.

PLK défend une fois de plus une cause noble. Il y a peu, le rappeur avait pris la parole pour dénoncer le racisme, et aujourd’hui, il cause des violences faites aux femmes. Invité pour le Planète Rap de Soso Maness sur Skyrock, les deux artistes ont évidemment joué leur morceau “Petrouchka” en live. Mais Polak a profité de l’occasion pour pousser une soufflante contre les violences conjugale. Mains dans les poches et capuche sur la tête, PLK a parlé de manière décomplexée des agressions faites aux femmes, et par la même occasion, des écarts de certains policiers sur les adolescents.

PLK ne comprend pas la police

«Quand un petit fait une connerie, je vois les condés qui viennent chez lui en une heure». Puis il juge les lacunes policières au sujet des débordements conjugaux : «Par contre, quand j’entends des histoires où des femmes portent plainte 48 fois, et il ne se passe rien du tout jusqu’à ce qu’on les tue. !a, ça m’affole plus», a expliqué l’artiste de 24 ans. Malgré son jeune âge, il n’hésite pas à causer des sujets les plus sensibles.

Le rappeur a troqué son personnage de PLK pour laisser causer l’homme, Mathieu Pruski. «Ils sont forts pour courir derrière des petits et les fracasser. Ils font des trucs de cons comme ça». Puis il renchérit en utilisant des mots forts : «Dans les vraies histoires ils ne sont plus là. Quand un mec met une balle dans la tête d’une meuf et qu’il la brûle dans la rue, il n’y a pas un condé. Mais pour attraper les petits de 18 ans sur un terrain ils sont forts

PLK a compris que sa notoriété était une force, et il ne manque pas de s’en servir.

Dans le reste de l’actualité, Disiz : et si on (re)parlait de “Qu”ils ont de la chance”