Présidentielle 2022: Vallaud-Belkacem écarte une candidature et penche pour Hidalgo

POLITIQUE - Qui, à gauche, sera candidat à l’élection présidentielle? À cette question, qui commence à agiter toutes les chapelles à un an de l’échéance, une réponse certaine: Najat Vallaud-Belkacem n’en sera pas.L’ancienne ministre de l’Éducation...

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Vallaud-Belkacem (ici le 4 février 2020) écarte une candidature pour 2022 et penche pour Hidalgo 

POLITIQUE - Qui, à gauche, sera candidat à l’élection présidentielle? À cette question, qui commence à agiter toutes les chapelles à un an de l’échéance, une réponse certaine: Najat Vallaud-Belkacem n’en sera pas.

L’ancienne ministre de l’Éducation nationale, qui affirmait en décembre dernier vouloir “prendre ses responsabilités” en vue de 2022, écarte l’hypothèse d’une candidature dans une entrevue au Parisien publiée mardi 27 avril, et continue de pousser en faveur d’une large union à gauche, dans le sillage de l’initiative lancée par Yannick Jadot au début du mois.

“Tout doit être fait pour présenter un candidat commun. Si ce candidat embrasse largement les convictions de la gauche autant que des écologistes, peu importe la formation dont il serait issu”, révèle Najat Vallaud-Belkacem, aujourd’hui candidate aux régionales en Auvergne-Rhône-Alpes face à Laurent Wauquiez notamment.

Hidalgo avance, Taubira laisse la porte ouverte

Quant à la meilleure personnalité pour porter cette hypothétique union en 2022, la socialiste penche pour Anne Hidalgo, bien que celle-ci ne se soit pas encore officiellement déclarée dans la course. 

“Ma préférence va à Anne Hidalgo qui a réussi, à Paris, malgré toutes les embûches, à faire travailler une majorité plurielle”, explique l’ancienne ministre dans son entrevue à propos de l’édile qui, de son côté, multiplie les petites initiatives en vue de 2022. En affirmant qu’elle se positionnerait probablement ”à l’automne” prochain, la maire de la capitale a notamment lancé sa plateforme de réflexion “Idées en commun” le 17 mars depuis Douai, au cours d’une visite aux allures de pré-campagne présidentielle.

Pour Najat Vallaud-Belkacem, Anne Hidalgo -aujourd’hui créditée d’environ 6% d’intentions de vote- devra toutefois passer par la case primaire “après celle des écologistes” dans l’optique de désigner un candidat commun, En y incluant les Insoumis. Le but: “passer par-dessus le mauvais souvenir de la primaire de 2017″, dit “NVB” au Parisien, alors que les sondages inquiétants pour sa famille politique ont tendance à se multiplier à un an de l’élection.

C’est dans ce contexte qu’une autre personnalité de gauche sort de son silence. Christiane Taubira accorde une rare entrevue au magasine féministe Causette ce mercredi 28 avril, dans laquelle elle salue les nombreuses initiatives qui s’organisent autour de son éventuelle candidature. “Ce n’est pas de la démagogie que de dire que ça me touche profondément”, explique l’ancienne ministre, laissant planer le doute sur ses intentions. 

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