Qui est Anya Taylor-Joy, l'interprète du “Jeu de la dame” et future Furiosa ?

Si son nom ne vous dit rien, son visage vous évoque sûrement quelque chose : récemment, la série Netflix Le Jeu de la dame l'a définitivement propulsée sur le devant de la scène. Mais depuis cinq ans, l'actrice ne cesse d'apparaître sur petit...

Qui est Anya Taylor-Joy, l'interprète du “Jeu de la dame” et future Furiosa ?

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

REJOINDRE L'ÉQUIPE DE RÉDACTION

Tu penses avoir un don pour la rédaction ?
Contacte-nous dès maintenant pour rejoindre notre équipe de bénévoles.

POSTULER

Si son nom ne vous dit rien, son visage vous évoque sûrement quelque chose : récemment, la série Netflix Le Jeu de la dame l'a définitivement propulsée sur le devant de la scène. Mais depuis cinq ans, l'actrice ne cesse d'apparaître sur petit ou grand écran, alternant les rôles de jeunes femmes et d'adolescentes, et il sera très prochainement impossible d'ignorer son nom : Anya Taylor-Joy.

La comédienne démarre vite et fort en 2015 grâce au personnage de Thomasin dans The Witch. Sa première incursion dans le monde du cinéma est en effet très remarquée : non seulement elle a directement obtenu un rôle principal, mais elle est à l'affiche du tout premier long-métrage de Robert Eggers. A l'époque, ce jeune cinéaste déniché et soutenu par la société de production A24 apparaît à point nommé dans le paysage cinématographique indépendant. Il s'inscrit dans une certaine mouvance esthétique (menée par l'ingénieuse A24) qui, le voulant ou non, dépoussière le film d'horreur. Aux côtés d'Ari Aster, de Jordan Peele ou de Mike Flanagan, il décape et renouvelle le genre et, en un seul film, Robert Eggers se fait un nom.

>> A lire aussi : Avec “The Lighthouse”, Robert Eggers est le nouveau maître de l’épouvante

La naissance d'une actrice caméléon