Anthony Matéo, épinglé par la DGCCRF : l’influenceur sort enfin du silence et se défend
Le gouvernement a décidé de sévir face aux activités des influenceurs. Depuis quelques jours, la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a épinglé plusieurs influenceurs. Les 1ers ? Illan Castronovo et Simon Castaldi. Les...
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Le gouvernement a décidé de sévir face aux activités des influenceurs. Depuis quelques jours, la direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a épinglé plusieurs influenceurs. Les 1ers ? Illan Castronovo et Simon Castaldi. Les deux hommes ont en effet été contraints de publier un message sur leur compte Instagram qui en disait long. « Les agents de la DGCCRF du Service National des Enquêtes ont initié une injonction administrative à l’encontre de Illan Castronovo ». Et ce dernier avait prévenu ses petits copains : il ne sera pas le seul à se faire épingler. « Je vois d’autres influenceurs qui rigolent… Ne rigolez pas trop ! S’ils m’ont eu moi… Ils m’ont puni à poster ça pendant trente jours mais c’est la plus petite punition. Là, il y a la vraie punition qui arrive pour ceux qui ont vraiment fait des conneries ! «
Anthony Matéo a-t-il fait exprès de faire passer son compte Instagram en privé après avoir été pointé du doigt par la direction de la concurrence et de la répression des fraudes ?
En effet, d’autres influenceurs ont été contraints de rendre des comptes. Parmi eux, Anthony Matéo. Épinglé à son tour par la DGCCRF sur Snapchat et Instagram, le candidat de téléréalité a tout de suite pris une décision qui a fait débat : son compte Instagram est en privé. Ainsi, pour certains, il mériterait une sanction plus lourde. « Ça y est, ces personnes font en sorte que la sanction soit le moins visible. Bruno Le Maire, il fallait leur coller une amende bien salée », pouvait-on lire sur les réseaux sociaux.
Après des jours de silence, Anthony Matéo a enfin pris la parole. « Déjà, je suis content que l’on puisse enfin réguler les pratiques sur internet avec de vraies lois car certains sont allés trop loin », a commencé par déclarer le candidat de téléréalité. « Je n’ai jamais volé qui que ce soit. J’ai toujours essayé de proposer des choses qui me ressemblaient ». Interrogé sur un sujet précis, le fait d’avoir fait la publicité d’injection d’acide hyaluronique par une professionnelle non-qualifiée, Anthony Matéo a indiqué : « Ce genre de prestation, je n’y connais pas grand-chose, mais étant suivi par beaucoup de femmes, je me suis dit ok« . Le candidat de téléréalité se défend en indiquant s’être assuré d’avoir demandé le diplôme de la prestataire en question et aurait vérifié qu’elle ait le droit d’exercer. Ces déclarations seront-elles satisfaisantes pour la direction de la concurrence et de la répression des fraudes ? Rien n’est moins sûr.
