Jazz, indie, hardcore... un coup d'essai tout en hybridité mélodique pour Wassailer

“De la musique folklorique irlandaise à des gros beats trap qui tabassent, en passant par des couleurs plus douces, jazz, indie ou plus hardcore, drum’n’bass, dubstep, je suis resté fidèle à mon éclectisme”, nous dit-il. Will Serfass, alias...

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Jan 25, 2021 - 12:21
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Jazz, indie, hardcore... un coup d'essai tout en hybridité mélodique pour Wassailer

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“De la musique folklorique irlandaise à des gros beats trap qui tabassent, en passant par des couleurs plus douces, jazz, indie ou plus hardcore, drum’n’bass, dubstep, je suis resté fidèle à mon éclectisme”, nous dit-il. Will Serfass, alias Wassailer, s'est fait connaître au sein du trio Evergreen, officiant en tant que compositeur et multi-instrumentiste.

Londonien d’adoption, il profite de i, the bastard pour rendre hommage à une urbanité foisonnante de cultures qui se croisent et se renouvellent sans cesse – dont les rythmiques entêtantes se retrouvent sur Settlement ou Going to the Club. Ce qui l'inspire, lui qui intervient dans des écoles pour autistes ?

“Nos histoires, nos émotions, nos tripes, nos cœurs brisés, nos peurs, nos contradictions, nos addictions, nos pulsions, notre petitesse d'esprit, notre grandeur d’âme parfois.” Autodidacte depuis l’adolescence, il réussit à trouver son ton, lo-fi, mélancolique et néanmoins entraînant, malgré de nombreuses références : L.A. Salami, Floating Points, Björk ou encore Skepta.

WassailerCOVER.jpg

 i, the bastard Empty Streets Records/Because

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