Il apprend deux ans après qu’il a produit un classique de PNL

Dans notre nouvel épisode de La Voix-Off, nous nous sommes intéressés aux producteurs de type-beat de PNL. L’histoire de “Je vis, je visser”, est particulièrement amusante.  En 2015, en France, il semblait bien difficile d’échapper au phénomène...

Il apprend deux ans après qu’il a produit un classique de PNL

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Dans notre nouvel épisode de La Voix-Off, nous nous sommes intéressés aux producteurs de type-beat de PNL. L’histoire de “Je vis, je visser”, est particulièrement amusante. 

En 2015, en France, il semblait bien difficile d’échapper au phénomène PNL. La même année, le tandem parisien a dévoilé deux projets devenus cultes : Que la famille, puis Le monde chico, quelques mois plus tard. Deux premiers tableaux entamant la légendaire discographie de PNL, mais conçus d’une bien étrange manière, quasiment uniquement sur des type-beats. À l’occasion du nouvel épisode de La Voix-Off, nous nous sommes intéressés à ces producteurs qui, pour la plupart, ont appris bien après qu’une de leur instrumentale devenait célèbre en France.

PNL : à qui appartient la production de “Je vis, je visser” ?

C’est le cas de DRMZ Beatz, un producteur américain. Tandis que sa chaîne YouTube accumule une petite notoriété en 2014, il dévoile un type-beat intitulé “Stay True”, en l’honneur de Bryson Tiller. C’est précisément cette même production qui sera choisie par PNL à l’occasion de leur titre désormais certifié disque d’or “Je vis, je visser”. Le problème : DRMZ Beats n’en sait absolument rien, PNL fait sa petite tambouille de son côté, sans adresser un mot au producteur. «Les mecs ne m’ont jamais rien demandé à propos de l’instru», nous confie-t-il.

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Ce n’est que bien plus tard qu’il va se rendre compte, au détour d’un commentaire sur sa chaîne, que sa production est en train d’empiler les millions de vues en France. Mais, autre problème : l’instrumentale a été vendue à un autre. Et bien que le producteur ait été contacté plus tard pour intégrer les ayant-droits du morceau, une autre personne à travers le monde pourrait bien être le détenteur légitime de la production de “Je vis, je visser”.

Découvrez l’histoire complète et les autres témoignages de producteurs dans notre vidéo :