“Songbird” : pire que le confinement, un film sur le confinement

Si on a tous réfléchi à la manière dont le cinéma allait s’emparer de la crise sanitaire mondiale, on ne s’attendait pas forcément à voir débarquer aussi vite le premier film labellisé “Covid”. C’est chose faite, grâce à Songbird, disponible...

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Si on a tous réfléchi à la manière dont le cinéma allait s’emparer de la crise sanitaire mondiale, on ne s’attendait pas forcément à voir débarquer aussi vite le premier film labellisé “Covid”. C’est chose faite, grâce à Songbird, disponible sur les plateformes VOD, qui nous transporte dans un futur proche : les Etats-Unis entrent dans leur 213e semaine de confinement et le virus a muté en Covid-23.

Produit par le très lourdaud Michael Bay, réalisé par un certain Adam Mason, le film a été tourné dans les rues désertes de Los Angeles. Et c’est avec un regard aiguisé, habitué à vérifier si les distanciations sociales sont respectées, qu’on observe cette improbable dystopie conçue à toute vitesse (écrite en mai, tournée en été), avec l’élan et la fébrilité qu’inspire toujours l’opportunisme.