Covid-19: l'UE sécurise 300 millions de doses du vaccin Pfizer-BioNTech en plus

CORONAVIRUS - L’Union européenne a conclu un accord pour l’acquisition de 300 millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19, doublant ainsi la quantité déjà commandée, a annoncé ce vendredi 8 janvier la présidente...

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L'Union européenne a conclu un accord avec Pfizer-BioNTech pour commander 300 millions de doses supplémentaires du vaccin contre le covid-19 (image d'illustration prise à Mayence, en Allemagne, le 7 janvier). 

CORONAVIRUS - L’Union européenne a conclu un accord pour l’acquisition de 300 millions de doses supplémentaires du vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19, doublant ainsi la quantité déjà commandée, a annoncé ce vendredi 8 janvier la présidente de la Commission Ursula von der Leyen lors d’une conférence de presse.

Bruxelles prévoit une commande ferme de 200 millions de doses supplémentaires du vaccin mis au point par l’alliance de l’Américain Pfizer et de l’Allemand BioNTech, avec une option pour 100 millions de plus, précise un communiqué de la Commission. Cela permettrait à l’UE d’acquérir jusqu’à 600 millions de doses de ce vaccin autorisé depuis le 21 décembre.

2,6 millions de doses vont arriver en France d’ici la fin janvier

En ce qui concerne la France, la ministre déléguée en charge de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher a fait savoir ce vendredi matin sur Europe 1 que 2,6 millions de doses de ce même vaccin devaient être livrées d’ici la fin du mois de janvier. Alors que la France suit une stratégie de vaccination bien plus lente que ses voisins européens, la ministre a reconnu quelques retards, liés selon elle à l’inquiétude des pays de l’UE d’avoir trop de doses rapidement et donc d’avoir à les conserver sur des durées importantes. 

“Aujourd’hui, le sujet, c’est d’obtenir le consentement des gens et de faire en sorte que chacun soit confiant dans l’utilisation du vaccin”, a ajouté Agnès Pannier-Runacher. Elle a précisé par ailleurs qu’une partie de la production du vaccin allait avoir lieu dans l’Hexagone: le laboratoire Récipharm va produire le vaccin de la biotech américaine Moderna ”à partir de fin février - début mars”, poursuivant en expliquant que “nous aurons ensuite Delpharm et Fareva qui suivront, Delpharm pour le vaccin de BioNTech et Fareva pour le vaccin Curevac si celui-ci obtient la mise sur le marché”.

En revanche, cette production hexagonale ne sera aucunement destinée à l’usage unique des Français, mais bien répartie entre les différents États-membres de l’UE. La ministre s’est ainsi dit “choquée” par un éventuel “repli nationaliste où chacun irait produire son petit vaccin dans son coin” pour ses uniques besoins.

Plus d’informations à suivre...

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